@clairezed c’est une approche « probabiliste » de la connaissance.

Rien n’est vrai, rien n’est faux. Tout a un certain pourcentage de crédibilité. Et ce pourcentage doit être mis a jour à chaque nouvelle information (grâce à une formule magique).

Et à partir de ce cadre la, on peut faire plein de truc chouette.

Si le sujet vous intéresse, j’en parle dans la vidéo ci-dessous avec @HygieneMentale

youtu.be/h5PrMtmonkU

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@Nymmartin @clairezed@mastodon.top @HygieneMentale mouais alors c'est hyper intéressant hein, mais je ne suis pas fan de faire passer des concepts mathématiques (proba a posteriori d'ailleurs) dans la philo. Je comprends l'idée, Bayes je m'en sers régulièrement sur mes travaux. Mais ça reste "des maths". Rendre la réflexion philo / pensée critique liée à un calcul, c'est pas vraiment l'idée du théorème de Bayes.

@Nymmartin @clairezed@mastodon.top @HygieneMentale alors oui, la translation vers la pensée critique est pas débile. Mais ça induit un biais connu du théorème : si la catégorie qui induit une "vérité" est blindée, elle donne du poid... Même si c'est faux. Il suffit de mal classer une donnée et tout part en bouillie. À mon sens, ça doit juste rester conceptuel si on quitte le domaine mathématique.

@metal3d @clairezed @HygieneMentale oui et toute façon impossible d’appliquer la formule au quotidien.
Ça n’empêche qu’il est intéressant (il me semble!) de la comprendre et de s’en inspirer pour mieux ajuster nos connaissances !

@Nymmartin @clairezed@mastodon.top @HygieneMentale oui oui j'ai précisé que dans l'absolu, la méthode en elle même peut être inspirante dans la vie 🙂

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