@clairezed c’est une approche « probabiliste » de la connaissance.
Rien n’est vrai, rien n’est faux. Tout a un certain pourcentage de crédibilité. Et ce pourcentage doit être mis a jour à chaque nouvelle information (grâce à une formule magique).
Et à partir de ce cadre la, on peut faire plein de truc chouette.
Si le sujet vous intéresse, j’en parle dans la vidéo ci-dessous avec @HygieneMentale
@Nymmartin @clairezed@mastodon.top @HygieneMentale mouais alors c'est hyper intéressant hein, mais je ne suis pas fan de faire passer des concepts mathématiques (proba a posteriori d'ailleurs) dans la philo. Je comprends l'idée, Bayes je m'en sers régulièrement sur mes travaux. Mais ça reste "des maths". Rendre la réflexion philo / pensée critique liée à un calcul, c'est pas vraiment l'idée du théorème de Bayes.
@Nymmartin @clairezed@mastodon.top @HygieneMentale alors oui, la translation vers la pensée critique est pas débile. Mais ça induit un biais connu du théorème : si la catégorie qui induit une "vérité" est blindée, elle donne du poid... Même si c'est faux. Il suffit de mal classer une donnée et tout part en bouillie. À mon sens, ça doit juste rester conceptuel si on quitte le domaine mathématique.
@Nymmartin @clairezed@mastodon.top @HygieneMentale oui oui j'ai précisé que dans l'absolu, la méthode en elle même peut être inspirante dans la vie 🙂